Les progrès de la science en ce XXIe siècle impactent tous les domaines. Ainsi, le domaine de la photographie à lui-même connut l’avènement de quelques appareils ou dispositifs qui améliorent la prise en photo des animaux, et ce, à n’importe quel moment de la journée. Au nombre de ces dispositifs se trouvent les pièges photographiques qui sont de plus en plus utilisés de nos jours.
Qu’est-ce qu’un piège photographique ?
Un piège photographique est une caméra activée à distance utilisée pour photographier les animaux dans la nature avec le moins d'interférence humaine possible. Son objectif est de produire des images d'espèces, notamment celles qui sont difficiles à voir par les chercheurs, comme les espèces nocturnes et rares.
Le piège photographique est une boîte étanche, normalement camouflée, dotée d’une caméra reliée à un capteur infrarouge capable de détecter les mouvements et/ou la chaleur, qui s'active lorsque les animaux passent devant lui. Vous en saurez plus en étant en contact ce dispositif. Alors pour en savoir plus allez ici dès à présent.
Comment utiliser un piège photographique ?
Les pièges photographiques doivent être placés de préférence dans des endroits où l'on a trouvé des signalements de l'espèce sur laquelle on veut travailler. La conception ne doit pas être aléatoire, car les animaux ne se déplacent pas de cette façon et utilisent sélectivement certaines caractéristiques du paysage comme les ravins, les crêtes des collines, etc.
Les pièges à caméra doivent être fixés à un arbre, ou utiliser un trépied ou un piquet métallique à une hauteur d'environ 50 cm du sol, afin d'obtenir une photo du corps entier de l'espèce en question. L'utilisation de pieuvres (cordes élastiques) est recommandée pour fixer les pièges au tronc d'un arbre, et dans les endroits où il y a beaucoup de monde, l'utilisation de chaînes est suggérée pour réduire la possibilité de vol des pièges.
Ce dernier a été un grave problème dans de nombreuses régions du pays, car les gens n'ont aucun respect pour la propriété d'autrui et ne considèrent pas les dommages qu'ils causent, non seulement du point de vue matériel, mais toutes les implications qui représentent la perte d'informations dans les études qui sont menées avec beaucoup d'efforts par les chercheurs.